ŒUVRES

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SERIES

SERIE URBAN LIFE

« Marcher entre les ombres, les oiseaux, les fils et les murs – ici commence l’Urban Life. »

Dans Urban Life, les corps avancent à travers des villes qui semblent suspendues entre passé et présent, mémoire et oubli. Des silhouettes anonymes traversent des paysages urbains denses.

La ville devient une entité presque vivante, à la fois carcérale et poétique. Les lignes strictes des immeubles, les fils électriques, les façades brûlées par le temps ou les couleurs, dessinent un territoire de contraintes. Et pourtant, des échappées surgissent : un chien, un corbeau, un ciel rouge, une main tendue.

Un style visuel emprunté au Japon, entre manga réaliste, estampe contemporaine et graphisme narratif, construit chaque image comme un plan de film, une scène interrompue ou une séquence intime. Le silence y est presque sonore, le mouvement discret, la densité palpable.


DIGITAL STREET WALL

« Marcher entre les ombres, les oiseaux, les fils et les murs – ici commence l’Urban Life. »

Dans Urban Life, les corps avancent à travers des villes qui semblent suspendues entre passé et présent, mémoire et oubli. Des silhouettes anonymes traversent des paysages urbains denses.

La ville devient une entité presque vivante, à la fois carcérale et poétique. Les lignes strictes des immeubles, les fils électriques, les façades brûlées par le temps ou les couleurs, dessinent un territoire de contraintes. Et pourtant, des échappées surgissent : un chien, un corbeau, un ciel rouge, une main tendue.

Un style visuel emprunté au Japon, entre manga réaliste, estampe contemporaine et graphisme narratif, construit chaque image comme un plan de film, une scène interrompue ou une séquence intime. Le silence y est presque sonore, le mouvement discret, la densité palpable.


ABSTRACTION VEGETALE

En travaillant ma série Abstractions végétales j’ai voulu partir d’éléments du monde végétal pour arriver à des formes lesquelles, regardées à distance ou dans l’ensemble de la composition, deviennent abstraites. Les plantes grimpantes ou rampantes, le lierre, la mauvaise herbe, les ronces, le chiendent, le pissenlit, le chardon et le liseron des champs envahissent insidieusement l’espace, par la douceur ou de manière agressive, avec des froissures, des heurts, des entrelacements, des accolements, des fêlures, et font glisser les figures peintes vers l’abstrait.

NOSTALGIA

Dans les ruelles tranquilles, le temps semble ralentir.

Une porte ouverte, un geste simple, une lumière posée sur un bol : tout parle d’un quotidien discret, empreint de douceur.

Le Japon s’y révèle sans artifice — dans un pas léger, un échange de regards, le murmure d’une maison.

Ces fragments de vie rappellent la beauté des choses ordinaires, la présence silencieuse du passé dans chaque instant.

 La nostalgie n’y est pas tristesse, mais regard attentif sur ce qui demeure.

Nostalgie Japon invite à observer, à ressentir, à laisser venir cette émotion calme qui naît face à la simplicité du monde.

EMPREINTES MÉMOIRE- DERRIÈRE L'IMAGE

Dans les ruelles tranquilles, le temps semble ralentir.

Une porte ouverte, un geste simple, une lumière posée sur un bol : tout parle d’un quotidien discret, empreint de douceur.

Le Japon s’y révèle sans artifice — dans un pas léger, un échange de regards, le murmure d’une maison.

Ces fragments de vie rappellent la beauté des choses ordinaires, la présence silencieuse du passé dans chaque instant.

 La nostalgie n’y est pas tristesse, mais regard attentif sur ce qui demeure.

Nostalgie Japon invite à observer, à ressentir, à laisser venir cette émotion calme qui naît face à la simplicité du monde.

PORTRAITS

Cette série est consacrée à ce que l'artiste pourrai nommé fragments de mémoires ou portraits empreintes. Capter des instantanés, figer des mouvements, des attitudes, des expression mais aussi capturer les marques du temps laissées sur un visage. Des traces de vie laissée comme des messages. Dans cette série l'artiste tente de rechercher l’essence, les origines, les fondements même de la vie. Les portraits nommées contre-empreintes, tentent de se frayer un passage d'un état à un autre. Le visage est le reflet du temps qui passe et qui irrévocablement nous rappel à la réalité d'une beauté éphémère et fatale.

IMPROBABLE

Cette série est consacrée à ce que l'artiste pourrai nommé fragments de mémoires ou portraits empreintes. Capter des instantanés, figer des mouvements, des attitudes, des expression mais aussi capturer les marques du temps laissées sur un visage. Des traces de vie laissée comme des messages. Dans cette série l'artiste tente de rechercher l’essence, les origines, les fondements même de la vie. Les portraits nommées contre-empreintes, tentent de se frayer un passage d'un état à un autre. Le visage est le reflet du temps qui passe et qui irrévocablement nous rappel à la réalité d'une beauté éphémère et fatale.

ANGES ET DEMONS

Cette série mêle collages urbains, silhouettes d’enfants et influences japonisantes. Couleurs saturées, matières déchirées, aplats inspirés de l’estampe et du manga : un monde fragmenté où l’enfance traverse la ville comme un territoire intérieur.

Entre douceur et tension, poésie et chaos, Anges et Démons explore la dualité qui habite chacun de nous.

DANSE MACABRE

La série danse macabre donne forme à quatre scènes, toutes centrées sur le thème de la danse. Deux personnages de danseurs enlacés parcourent dans leurs évolutions les espaces représentés (dans l’œuvre n. 3 de la série on voit même apparaître deux fois le couple des danseurs, le dédoublement indiquant deux moments successifs d’un même mouvement de danse).

Il s’agit d’espaces connotés par peu d’éléments, quelques objets (camions, armes de guerre) et des personnages (soldats, enfants meurtris par la guerre, enfermés dans leur rage, nus et au regard impuissant) qui suggèrent un monde en conflit.

L’arrière-plan avec ses couleurs vives et contrastées (rouges, jaunes et verts posés en aplat) ainsi que les papiers collés qui composent et décomposent les éléments figuratifs s’opposent, par leur violence et leur désordre apparent, à la danse sensuelle et lascive des deux personnages : la vie évoluant, malgré tout, au milieu de ce chaos meurtrier, avec indifférence, dans un dernier effort de défense.

GANG

MONDE EN GUERRE

Le sujet des Gangs est traité selon un procédé qui va du figuratif au documentaire. C'est pourquoi la macrostructure de cette série n'est sans rappeler à la fois les polyptyques de sujet sacré du Moyen Age et de la Renaissance et les bandes dessinées : une narration continue s'installe autour du phénomène des gangs en guerre permanente pour la conquête de territoires, sans proposer pour autant une démonstration ou une lecture moralisante. Les scènes figuratives se composent sur un fond où, dans les tons violents dominant des jaunes ou des rouges, s'offre aux yeux du spectateur un paysage de misère, la misère des favelas sud-américaines, représentative de la misère de toutes les banlieues dévastées par la guerre et le crime, y compris celles des villes riches du monde occidental, ce monde qui est présent par bribes, dans les détails d'une civilisation urbaine vieillissante (panneaux publicitaires, graffiti, street art). C'est sans doute la série qui a le plus massivement recours au procédé de citation et du recyclage, de matériaux (papiers collés tirés d'affiches publicitaires) et de détails tirés de bandes dessinés et de films, voire même de documentaires sur les Gangs en guerre.